La politique américaine à l’égard du Vietnam de 1946 à 1973. Faits, prise de décision et stratégie

Tanguy Struye de Swielande

Table des Matières 

Introduction

PARTIE I : Approche théorique de la prise de décision

CHAPITRE I : les approches scientifiques de la décision

1.1. L’approche rationnelle
1.2. L’approche perceptuelle /cognitive
1.2.1. L’approche générale
1.2.2. La cognition dans le processus de décision
1.3. L’approche bureaucratique
1.4. L’approche systémique
1.5. L’approche sociologique de Rosenau
1.5.1. La variable d’ordre individuel
1.5.1.1. Le style actif-positif
1.5.1.2. Le style actif-négatif
1.5.1.3. Le style passif-positif
1.5.1.4. Le style passif-négatif
1.5.2.variable dite sociétale
1.5.3.variable d’ordre systémique
1.5.4.variable dite de rôle et variable d’ordre gouvernemental
1.5.4.1. La structure décisionnelle
1.5.4.1.1. La structure compétitive
1.5.4.1.2. La structure formelle
1.5.4.1.3. La structure collégiale
1.5.4.2. Le rôle des conseillers (Advisory system)
1.5.4.2.1. le rôle
1.5.4.2.2. Les dysfonctionnements
1.5.4.2.3. La relation au sein de l’équipe décisionnelle : compétitive ou collégiale
1.6. Tableau récapitulatif

CHAPITRE II : Les modèles décisionnels

2.1. Le modèle Easton
2.1.1. Les inputs
2.1.2. Les outputs
2.1.3. Le feed-back
2.2. Le modèle de J. Lovell
2.3. Le modèle Duroselle
2.4. le modèle Sui Generis
2.5. Les dilemmes

CONCLUSION

PARTIE II: Eisenhower

CHAPITRE I : De Truman à Eisenhower

1.1. 1945-1953
1.1.1. L’environnement international
1.1.2. La situation en Indochine
1.2. Arrivée d’Eisenhower au pouvoir
1.2.1. L’équipe décisionnelle
1.2.1.1. Le département d’Etat et de la Défense
1.2.1.2. Le C.N.S.
1.2.2. Dien Bien Phu
1.2.2.1. Vers une intervention unilatérale ?
1.2.2.2. La réunion du 3 avril et ses conséquences
1.2.2.3. Pourquoi avoir transmis des conditions que les Etats-Unis savent inacceptables ?
1.2.3. Les Accords de Genève et la réaction américaine
1.2.3.1. La position américaine concernant les Accords de Genève.
1.2.3.2. Création de l ‘OTASE (SEATO)
1.2.3.3. Réflexions sur cette politique d’endiguement
1.2.4. 1955-1960 : Le « projet Viêt-nam »
1.2.4.1. Le rapport Collins
1.2.4.2.Paradoxe : Accroissement de l’aide financière et matérielle – détérioration de la situation

CHAPITRE II : Analyse de la prise de décision selon le modèle Sui Generis

2.1. Structure et style présidentiels
2.2. La variable bureaucratique
2.3. La variable du rôle, la variable cognitive et la variable systémique.
2.4. La variable dite sociétale
2.5. Conclusion

CONCLUSION

PARTIE III : J.F. Kennedy

Chapitre I : L’Equipe décisionnelle

1.1. Le secrétaire d’Etat et son département
1.2. Le secrétaire à la Défense et son département
1.3. Le C.N.S.
1.4. Les services de renseignements
1.5. Conclusion

CHAPITRE II : Du New Look à la réponse graduée

2.1. La doctrine du New Look
2.2. Le New Look en question
2.3. La riposte graduée sous Kennedy

CHAPITRE III : L’engrenage

3.1. Méconnaissance du terrain
3.2. Mai 1961 : tentative de définition de l’engagement américain au Viêt-nam
3.3. Le rapport Taylor-Rostow et ses suites
3.3.1. La mission Taylor-Rostow
3.3.2. Réactions au rapport
3.3.3. Adoption du rapport Rostow-Taylor
3.3.4. Demande du JCS d’envoi de forces terrestres
3.3.5. La voie suivie par l’administration Kennedy.
3.4. 1963 : L’année de tous les dangers
3.4.1. La crise bouddhiste
3.4.2. Réveil du département d’Etat ?
3.4.3. La mission Krulak- Mendenhall
3.4.4. La mission Taylor-McNamara
3.4.4.1. Pourquoi envoyer principalement des représentants du Pentagone?
3.4.4.2. Les recommandations du rapport Taylor-McNamara
3.5. La controverse du retrait

CHAPITRE IV : Analyse de la prise de décision

4.1.La structure décisionnelle
4.2.La variable bureaucratique
4.3. La variable du rôle et la variable individuelle
4.4. La variable systémique et l’approche cognitive
4.5. La variable institutionnelle
4.6. Conclusion

CONCLUSION

PARTIE IV :LYNDON B. JOHNSON, de l’engagement à l’impasse

CHAPITRE I : La politique des petits pas(1964-1965)

1.1. Personnalité et carrière politique
1.2. L’arrivée au pouvoir de Johnson
1.2.1. La transition de Kennedy à Johnson
1.2.1.1. Les hésitations de Johnson
1.2.1.2. Evolution sur le terrain entre novembre 1963 et juin 1964
1.2.2. L’incident du Golfe du Tonkin et ses suites
1.2.2.1. Les faits
1.2.2.1.1. L’attaque du 2 août
1.2.2.1.2. Attaque du 4 août
1.2.2.2. Réactions à Washington
1.2.2.3. La résolution du Tonkin
1.2.2.4. Les raisons de la résolution
1.2.2.4.1. L’administration Johnson a-t-elle trompé le Congrès au moment de la résolution ?
1.2.2.4.2. Pourquoi Johnson a-t-il attendu la seconde attaque, alors que la première attaque avait été confirmée ?
1.3. Election de Johnson à la présidence
1.3.1. Tentative de définition de l’engagement américain
1.3.1.1. Création du NSC Working Group on South Vietnam/Southeast Asia.
1.3.1.2. Adoption de l’option C’
1.3.1.3. Mise en pratique de l’option C’
1.3.2. Début de Rolling Thunder
1.3.2.1. La bataille de Binh Gia et ses conséquences
1.3.2.2. L’attaque de l’aéroport de Pleiku
1.3.2.3. Les raisons de Rolling Thunder
1.3.2.4. G.Ball :une position opposée à la politique menée
1.3.3. Envoi des troupes terrestres ?
1.3.3.1. Les marines débarquent
1.3.3.2. Débat sur un envoi massif de troupes terrestres
1.3.3.3. Une nouvelle requête de Westmoreland
1.3.3.3.1. Analyse des mémorandum
1.3.3.3.2. Le groupe des Sages
1.3.3.3.3. Eisenhower
1.3.3.3.4. L’opinion publique
1.3.3.3.5. Le Congrès
1.3.3.3.6. L’annonce officielle de l’envoi massif de troupes
1.3.3.3.7. Réaction du JCS à l’annonce du 28 juillet par un mémorandum
1.4. Conclusion

CHAPITRE II : 1967-1968, de l’espoir au désespoir

2.1. 1966 : américanisation du conflit
2.1.1. apparition et confirmation de divers courants
2.1.1.1. Le point de vue des colombes : Kennan
2.1.1.2. Le point de vue des faucons : Taylor
2.1.1.3. Le point de vue des modérés : Mansfield
2.1.2. Bombardements de juin 1966 sur Hanoi
2.2. 1967 : Accord sur les objectifs, désaccord sur les moyens de les atteindre.
2.2.1. De nouveaux renforts pour Westmoreland ?
2.2.1.1. La nomination d’Ellsworth Bunker
2.2.1.2. La demande de Westmoreland et ses suites
2.2.2. Position de l’opinion publique et du Congrès
2.2.2.1. Le Congrès
2.2.2.2. L’opinion publique
2.2.3. Conclusion
2.3 L’offensive du Têt
2.3.1. Les faits
2.3.2. Vers une nouvelle politique ?
2.3.2.1. La Task Force
2.3.2.2. D.Acheson et A. Goldberg
2.3.2.3. Le Comité des Sages
2.3.2.4. L’opinion publique
2.3.3. L’offensive aurait-elle pu être évitée ?
2.3.4. L’après Têt
2.3.5. Conclusion

CHAPITRE III : Analyse de la prise de décision

3.1. 1963-1966 : Sur les traces de Kennedy ?
3.1.1. La structure collégiale
3.1.1.1. Les caractéristiques
3.1.1.2. Les lacunes de l’application de la structure collégiale
3.1.1.2.1. L’élitisme
3.1.1.2.2. Le rôle d’avocat du diable
3.1.1.2.3. Le Tuesday Lunch et la pensée de groupe
3.1.1.2.4. Le principe du bolstering
3.1.1.2.5. Manoeuvres afin d’affecter l’information
3.1.2. L’approche cognitive : le syndrome de Munich
3.1.3. La variable bureaucratique / institutionnelle
3.1.3.1. L’autonomie
3.1.3.2. Le moral
3.1.3.3. L’essence
3.1.3.4. Rôles et missions
3.1.3.5. Le budget
3.1.4. La variable d’ordre individuel
3.1.5. Les groupes de pression : le complexe militaro-industriel
3.1.6. La propagande
3.1.7. La variable systémique
3.1.8. Conclusion
3.2.1966:Tentatives d’élargissement de la structure décisionnelle
3.2.1. Un nouveau C.N.S.
3.2.2. Le NSAM 341
3.2.3. Le Non-Group
3.2.4. Conclusion
3.3. De mars 1967 à Mars 1968 : un modèle idéal de la prise de décision ?
3.3.1. Les think tanks
3.3.2. Les médias
3.3.3.L’équipe décisionnelle
3.3.4. Conclusion

CONCLUSION

PARTIE V :La présidence Nixon

CHAPITRE I : l’équipe décisionnelle sous Nixon

1.1.La personnalité et la carrière de Nixon
1.2. L’équipe
1.2.1. Le secrétaire d’Etat, à la Défense et le JCS
1.2.2. Le C.N.S.

CHAPITRE II : la politique vietnamienne

2.1. Désaméricanisation du conflit.
2.1.1. Le N.S.S.M-1
2.1.2. Le rapport Laird et la Vietnamisation
2.1.3. L’opération Menu
2.1.4. La doctrine Nixon
2.1.5. La politique triangulaire
2.1.5.1. L’approche théorique
2.1.5.1.1. Raisons du rapprochement entre la Chine et les Etats-Unis
2.1.5.1.2. Raisons du rapprochement entre les Etats-Unis et l’U.R.S.S.
2.1.5.2. Echec de la première tentative
2.2. Extension géographique du conflit
2.2.1. Le groupe d’études spéciales sur le Viêt-nam
2.2.2. Le Laos
2.2.3. Le Cambodge
2.2.3.1. Analyse de la prise de décision au niveau des faits.
2.2.3.2. Réaction du Congrès
2.2.3.3. Réaction de l’opinion publique
2.2.3.4. Intervention réussie ?
2.2.3.5. Analyse de la prise de décision
2.2.4. Lam Son 719
2.2.4.1. Le compromis entre l’Exécutif et le Congrès
2.2.4.2. La mission Haig
2.2.4.3. L’amendement Cooper-Church est-il d ‘application ?
2.2.5. L’offensive du printemps 1972 : coup de maître de l’administration Nixon
2.2.5.1. Les faits
2.2.5.2.Remarques sur la prise de décision
2.3.Les négociations
2.3.1. La formule San Antonio
2.3.2. Les Accords de Paris
2.3.3. Les conséquences des Accords de Paris

CHAPITRE III : Analyse de la prise de décision

3.1. Structure formelle
3.2. la variable du rôle
3.3. La variable d’ordre individuel
3.4. La variable systémique
3.5. Conclusion

CONCLUSION

CONCLUSION GENERALE

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L’évolution de la pensée navale. Tome VII

Hervé Coutau-Bégarie (Dir.)

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Table des matières

Archéologie de la pensée navale. Vers la fin.
Hervé Coutau-Bégarie

Y a-t-il une pensée navale dans l’Occident médiéval ?
Philippe Richardot

Éperon et bélier, entre histoire et techniques
Michel Depeyre

Bouët-Willaumez et Penhoat
Étienne Taillemite

Victor Thellung de Courtelary, penseur naval suisse
Jean-Jacques Langendorf

Idéologie et tradition chez Mahan
Jean-Marie Ruiz

La pensée navale grecque contemporaine
Ioannis Loucas

La pensée navale italienne après 1945
Ezio Ferrante

La pensée navale suédoise après 1945
Lars Wedin

Thalassopolitique. Carl Schmitt et la mer
David Cumin

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Le général Monclar, un condottiere du XXe siècle

Edme des Vollerons

 

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La vie du général Magrin-Vernerey, dit Monclar, a épousé tous les soubresauts de l’histoire militaire française contemporaine. Saint-Cyrien de la promotion « Montmirail », Raoul Magrin-Vernerey part en août 1914 pour la Grande Guerre, « en casoar et en gants blancs ». Blessé à sept reprises, gazé, décoré, il se révèle au front l’un des officiers les plus brillants de sa génération. Puis il découvre l’Orient, l’épopée héroïque du mandat français au Liban et en Syrie. Sous les ordres de Lyautey, il combat au Maroc lors de la guerre du Rif. Il rejoint ensuite la Légion Étrangère, dont il deviendra un des officiers les plus célèbres. Monclar sillonnera la France, l’Indochine, l’Algérie, avant que n’éclate la Seconde Guerre Mondiale. Vainqueur en Norvège, Monclar est le seul chef de corps à rallier De Gaulle avec une unité d’élite quasiment complète. Artisan de la campagne victorieuse d’Érythrée, Monclar se révèle par la suite un administrateur en Syrie. Inspecteur de la Légion Étrangère après la guerre, il forge en quelques mois l’instrument de guerre le plus efficace de l’armée française. Volontaire pour prendre le commandement du Bataillon français combattant sous la bannière des Nations unies en Corée, il en revient couvert de gloire. Il meurt en 1964, gouverneur des Invalides.

Edme des Vollerons est diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris et titulaire d’un DEA de géopolitique. Il s’est spécialisé dans l’étude de l’histoire militaire, de la géopolitique et des relations internationales.

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Général Diego Brosset. De Buenos Aires à Champagney, via l’Afrique et la France Libre

Geneviève Salkin

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Dans cette époque de doute, il nous plaît, avec André Maurois, « de chercher dans la vie des grands hommes la preuve qu’eux aussi ont douté et ont pourtant réussi à agir ». Diego Brosset était de ceux-là et c’est ce qui nous le rend si humain, si proche. Toutefois, pour cet ami de Th. Monod, Vercors, Saint-Exupéry, assumer son humanité est assez étourdissant : « Cela veut dire que nous saurons aimer d’une même ardeur les joies de l’esprit et celles du corps, l’action et la méditation, mener la vie dans la vie comme dans le rêve, ne pas plus sacrifier les femmes aux philosophes que les mathématiques à la bonne chère, comprendre Einstein mais aussi un chef Berbère, Stendhal, Freud, et un Toucouleur, pénétrer Mozart ou Bach et conduire sa troupe au combat, mener du même cœur son cheval, un flirt, sa voiture, son savoir et son esprit critique, s’apprendre à courir, à nager, à comprendre l’Angleterre, l’URSS, la Chine, la chasse à la baleine, la théorie des quanta, en bref saisir la vie, posséder Dieu, ne pas craindre certes de mourir, mais moins encore, mais moins surtout, de VIVRE ! »

Biographe éclectique, Geneviève Salkin n’aime les militaires que sortant de l’ordinaire comme le prouvent ses écrits antérieurs. Ainsi des attachés navals (Marins et diplomates, Vincennes, SHM, 1991), médaille de la Société de Géographie humaine de Paris ; de Jules Harmand, précurseur de Pavie (Le triple destin de Jules Harmand, médecin, explorateur, diplomate, Économica, 1992) ; de Mustafa Kemal (Le libérateur 1919-1922, CIHM, 1993) ; du médecin général Clarac, médecin de Dreyfus en Guyane, avec la mise en forme de son autobiographie (Mémoires d’un médecin de la Marine et des colonies, SHM, 1994) ; ou encore de son grand-père, le général de Bazelaire, dont elle a édité les Souvenirs de guerre, 1914-1918 (Paris, 1988).

Table des matières

Remerciements

Préface

Avant-Propos

UN HOMME EN DEVENIR (octobre 1898 – mars 1922)

Chapitre I – Les jeunes années (octobre 1898 – septembre 1916)

Chapitre II – à l’École de la guerre (septembre 1916 – novembre 1920)

Chapitre III – Saint-Maixent et Joinville (novembre 1920 – mars 1922)

L’AFRICAIN – (1922-1937)

Chapitre IV – Au Soudan (1922-1924)

Chapitre V – Dans le Sud algérien (1924-1925)

Chapitre VI – Premier séjour en Mauritanie (1925-1927)

Chapitre VII – Séjour métropolitain (1928-1929)

Chapitre VIII – Second séjour en Mauritanie (1929-1930)

Chapitre IX – Intermède familial (1931-1933)

Chapitre X – Maroc (1933-1937)

LE NON-CONFORMISTE (1937-1940)

Chapitre XI – à l’école Supérieure de Guerre (1937-1939)

Chapitre XII – Dans la drôle de guerre (1939-1940)

Chapitre XIII – À la mission militaire française en Colombie (mai – décembre 1940)

LE FRANÇAIS LIBRE (1940-1943)

Chapitre XIV – Dans l’entourage du général de Gaulle (janvier – mai 1941)

Chapitre XV – En Syrie (juin 1941 – décembre 1942)

LE COMBATTANT (1943-1944)

Chapitre XVI – à la 2e brigade française libre (janvier – août 1943)

Chapitre XVII – Préparation au combat de la 1re DFL (août 1943 – avril 1944)

Chapitre XVIII – La campagne d’Italie (avril – août 1944)

Chapitre XIX – Le débarquement en Provence (août 1944)

Chapitre XX – Poursuite à travers la France (août – novembre 1944)

Conclusion

Liste des abréviations

Sources et bibliographie

Index

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Collet au galop des Tcherkesses

Yves Salkin

 

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La fascinante personnalité du général Collet a marqué de son empreinte une génération de cavaliers de légende d’entre les deux guerres en Syrie. Le commandant des Tcherkesses a récolté de multiples décorations, il est devenu Compagnon de la Libération. Il s’est fait aussi connaître par des missions délicates dans le sandjak d’Alexandrette, dans la région de Meknès et dans celle de Toulouse. Officier de cavalerie, docteur en histoire, habilité, le général Salkin a été attiré très tôt par l’étude des conflits du Maghreb et du Proche-Orient. Il a écrit une Histoire des goums marocains, unités où il a eu l’occasion de servir au Maroc et en Indochine.

Table des matières

Avant-propos

Chapitre I – La Première Guerre mondiale (1915-1918)

Chapitre II – Dans la Syrie turbulente (1919-1927)

Chapitre III – Dans la Syrie pacifiée (1927-1939)

Chapitre IV – Dans les remous de la Seconde Guerre mondiale (1939-1941)

Chapitre V – En Syrie avec la France libre (1941-1943)

Chapitre VI – Chef de région à Meknès (1943-1944)

Chapitre VII – Commandant de la région militaire à Toulouse (1944-1945)

Conclusion

Liste des annexes

Liste des cartes

Liste des principaux sigles

Sources et bibliographie

Index des unités

Index

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