Olivier Zajec
Table des matières
Préface
Note éditoriale
Prologue
Première partie. D’Amsterdam à Yale. Portrait du jeune philosophe en hollandais volant (1893-1925)
Chapitre I. De Spijkman à Spykman, un Bildungsroman entre Ancien et Nouveau Monde
Chapitre II. L’entrée dans l’arène académique du Nouveau Monde
Chapitre III. La translatio studii de Nicholas Spykman, de la sociologie aux Relations internationales
Deuxième partie. Un théoricien pionnier, de la sociologie simmelienne aux relations internationales (1925-1943)
Chapitre V. « Le but de l’enseignement n’est pas la connaissance mais la compréhension » : Spykman théoricien des relations internationales
Chapitre VI. Spykman, créateur du premier département de Relations internationales de Yale (1935-1943)
Troisième partie. Faut-il réévaluer la composante « géopolitique » dans l’œuvre générale de Nicholas Spykman ?
Chapitre VII. Illustration d’une méthode d’approche des RI : les deux articles « géopolitiques » de l’American Political Science Review (1938-1939)
Chapitre VIII. America’s Strategy in World Politics : la gloire et l’opprobre (1942)
Chapitre IX. The Geography of the Peace (1944) : le livre le plus célèbre de Spykman est-il de Spykman ?
Quatrième partie. Postérité de Spykman dans les modèles théoriques de la géopolitique et des relations internationales
Chapitre X. Spykman et l’historiographie théorique de la géopolitique : affiner les classifications
Chapitre XI. Spykman et l’historiographie théorique des relations internationales : un pionnier hétérodoxe sous-estimé
Conclusion. « L’intersection de ce que l’on attendait avec ce que l’on n’attendait pas »
Remerciements
Sources et bibliographie
Sigles et abréviations
Index