François Géré
Table des matières
Préface
Première Partie – Ruptures historiques et révolutions technologiques
Chapitre Ier – Penser la rupture
Qu’est-ce qu’une rupture ?
Chapitre II – Unité de la guerre froide
I. Le déroulement de la guerre froide
II. La guerre froide “régime” des relations internationales
III. La rupture niée
Chapitre III – Rupture et révolution de l’“age nucléaire” et “révolution de l’information”
I. Quelle révolution ?
II. La révolution contestée
III. La révolution de l’information anti-thèse de la révolution nucléaire et de la révolution industrielle
Deuxième Partie – La sortie de la guerre froide
Préambule Sortie de guerre, pour quelle destination ?
Chapitre Ier – Une rupture singulière. Appréciation de la fin de la guerre froide par les États-Unis et par la France (1986-1990)
I. Deux sorties de guerre
II. Qui a gagné la guerre froide ?
Chapitre II – Exploiter la rupture
I. Un pentagone du nouveau géosystème mondial
II. Ce qui vient après la rupture
Chapitre III – Deux théâtres de compétition franco-américaine : l’ONU et l’OTAN 1990-1996
I. Manœuvres et affrontement pour l’ONU
II. L’OTAN et l’Union européenne : la sécurité et la défense de l’Europe
Troisième Partie – Le passage stratégique
Chapitre Ier – Validité décroissante de la stratégie de dissuasion nucléaire
I. Conditions générales de la rupture stratégique : mutation du statut des armes nucléaires
II. Ajustement des postures stratégiques et évolutions doctrinales
Chapitre II – Réduire les pouvoirs du nucléaire : non-prolifération et contre-prolifération
I. Comment, à la suite et en raison de la rupture, évolue la divergence franco-américaine.
II. La contre-prolifération
III. l’effort de désarmement et de non-prolifération
Chapitre III – Morphologie de l’action militaire et stratégie des moyens au temps des guerres optionnelles
I. Un demi-siècle d’opérations militaires
II. Opérations extérieures et maintien de la paix : les guerres optionnelles, un panorama franco-américain
III. Vers un nouvel art de la guerre dans la civilisation de l’information : principes et moyens
Conclusion – Action et dissuasion, une fausse antinomie
I. Les raisons d’une antinomie
II. Dépassement du problème dans la théorie : la stratégie comme réalité de l’action, la stratégologie comme pensée et connaissance de l’action.